Le christianisme simple est vrai c’est la bonté sans les dogmes.
Il existe bien un christianisme d’église avec ses dogmes et ses crédos, mais le vrai christianisme qu’enseigna Jésus dans les évangiles palestiniens n’existe toujours pas en particulier le Sermon sur la montagne (Matthieu 5-7) n’est toujours pas mis en application.
Les Pèlerins d’Arès sont des chrétiens au sens originel, existentiel, du mot chrétien.
Depuis le 4ème siècle le mot chrétien a malheureusement changé de sens. Il qualifie aujourd’hui un credo qui revendique le salut éternel pour celui-là seul qui confesse que le sang de Jésus, considéré comme Dieu en personne, roula sur la croix (Rév d’Arès xxxi/1) pour le rachat des pécheurs. Ce credo est contesté par Le Signe qui, tout différemment, rétablit le Fond du prophétisme de Jésus, à savoir que c’est n’importe quel homme ou femme qui change sa vie (en bien) (Le Signe 30/11) qui, quoi qu’il pense ou qu’il croie, se sauve (36/23) et de surcroît contribue à changer, donc à sauver le monde (28/7).
La Vérité, c’est que le monde doit changer (Le Signe 28/7). Le message dans Le Signe se développe autour de ce verset saisissant, parce que le mot Vérité, habituellement conceptuel et dévotionnel, y désigne de façon inattendue un objectif factuel, pratique : le changement (en bien) comme seul moyen de salut, individuel et universel. “Homme, non ce que tu crois, mais ce que tu fais te sauve !” C’est une dynamique purement et vraiment chrétienne au sens originel.
On sort de la religion ; on entre de plein pied dans la vie spirituelle, qui pour le Pèlerin d’Arès est la vie tout court.
Suite: http://michelpotayblog.net/jJF/jJFtv.html